Le monde change
Les gens avec
Abandonnant leurs ailes d'anges
Refusant le châtiment de l'évêque

 Ces personnes aux coeurs purs
Sont devenus ces êtres de pierre
Ne se rattachant qu'a ce qui est impur
S'abreuvant de chagrin qui erre

La société a une double face
Ne nous montrant que le meilleur
De sa pensée qui s'efface
Cette vérité que l'on nous leurre

Ces êtres sont aujourd'hui remplient
D'amour au goût de mort
D'idées qui se déplient
Comme un éventail en forme de remords

Eux jamais ne connaitront
Le plaisir d'aimer
Ce plaisir abîmé
Par des âmes d'où il ne reste que le tronc!
 

Le père Noël t'y as cru longtemps ..
La petite souris t’as aimé la voir passer ..
Les princesses t'en connais des vraies ..
Les fées ne t'ont jamais aidée ..
Le monstre du placard a une autre planque,
Et je parle pas de celui qui est sous ton lit ..
Le loup-garou t'hésites encore ..
Les fantômes tu les as jamais rencontrés ..
Merlin, tu connais que celui de Disneylαnd ..

Mais
Le prince charmant, au fond
t'y crois encore ..

Toujours cette question, qui hante mon esprit
Le poids d'une vie, pourquoi je suis ici
A quoi me sert le souffle qui me fait respirer !
A quoi bon être là, sans rien pouvoir donner

Souvent désemparée devant tant de souffrance
Et la médiocrité de ceux qui pensent avoir
Calés dans leur palais, d'une vie illusoire
Le pouvoir absolu, le droit à la sentence
 
Je n'envie pas vos biens, je rêve de justice
Qu'on cesse de pousser au fond du précipice
Ceux qui n'ont pas poussé sur du gazon doré
Tout s'achète tout se vend, même les yeux pour pleurer

On court après la mort, comme une liberté
Des années à trimer, survivre est au passé
Le bilan d'une vie, de respect de merci
Pour finir dans l'oubli, pour finir dans ce lit
 
Je ne suis pas un ange, les ailes n'ont pas poussé
Je rêve de vengeance, de faire tout basculer
Je ne crois pas à la chance, mais juste à l'évidence
Abondance et carence, à qui est la balance

***
Pardon, si mes mots manquent de dentelles
Mais les vautours mitraillent les hirondelles
On parle de recueil et de méditation
Je ne vois que des cercueils, et de la confusion

Il serait peut être temps, de chasser nos préjugés
De réveiller nos esprits fermés mal informés
On ne fait que relater, on ne fait que constater
Tous ces faits médiatisés, nous voilà divisés

[ ♥ ] Cheveux devant les yeux,
sourire aux lèvres...
yeux qui pétillent malicieux,
elle est dans un rêve... [ ♥ ]

Je ne réponds plus de rien,
mon sourire est radieux!

Sourit chère enfant.
Mais fait bien attention...

[ ♥ ] Sourire s’efface doucement... [ ♥ ]
Oh non... pas de désillusion.

Il n'est pas comme les autres!!!

Il va te faire souffrir.

Nan c'est pas de sa faute.
T'as pas le droit de me faire douter
Il m'aime.

Il te ment.

Et où ca te mène?

T'as trop souffert avant.

[ ♥ ] Cheveux dans le vent,
Sur son visage les larmes coulaient...
il lui mentait, elle le savait,
Mais elle se cachait la vérité tristement [ ♥]

Je suis atteinte d'une grave maladie.
Je l'ai attraper quand j'étais toute petite.
Je ne pourrais jamais en guérir.
Au fil du temps je vois mon corps dépérir.
C'est une maladie incurable
Et ca devient de plus en plus insupportable.
J'aimerais que quelqu'un m'aide,
Mais je sais qu'il n'y à pas de remède

C'est très douloureux,
Même si je n'en perds pas mes cheveux.
Chaques jours qui passent me rapproche de la fin.
La maladie me mange à sa faim.
Beaucoup de personnes l'ont contractée

Je crois que maintenant vous l'avez devinez,
La maladie qui me hante
Et me tourmente
La maladie qui m’affaiblis,
Et me détruit
S'appelle la Vie.