Le suicide n'est pas toujours un acte de lâcheté
Mais parfois une délivrance devant cette cruauté

La maladie,les douleurs,la fatigue,font qu'elle a supplié
Que tout s'arrête enfin et que l'on vienne la chercher...<o:p></o:p>

Ma vie ma apprit qu’un battement de cœur,
N’est que l’égale de ce que l’on pleure…
Ma vie c’est des morceaux de verre que je n’ai jamais ramasser,
Mais que l’amour à su faire tomber et se briser…
Ma vie n’est qu’un livre que l’auteur n’arrive pas à finir,
Tellement son personnage se voit au fil des pages souffrir…

J’ai connu les romans de gare,
Et des larmes au fond de mon regard…
J’ai aussi vu mon amour partir vers un horizon qui n’était pas le mien,
Et j’ai connu deux fois le départ d’une histoire avec un train…
Ma vie n’est pas les beaux livres d’enfants qui commence par « Il était une fois »
Ma vie ce résume à « Il était quelques fois »

Il en revient quelques fois des souvenirs,
Ceux que comme tout le monde je ne voulais pas retenir…
C’est alors un mélange de nostalgie, solitude et chagrin,
C’est ce que je connais bien, peut-être même trop bien…
Que je suis à me demander si j’arriverais à ressentir encore des choses,
Pire encore si j’oserais un jour ouvrir les portes jusqu’ici close…

Le silence que j’écris dans mes poésies, ne meurt qu’en moi,
Sans même que certain mots puisse répondre à ce pourquoi…
Il en demeure alors une amertume qui s’installe dans la mine de mon visage,
Une vérité qui est forcer sous clé à rester en cage…
Mais si ma vie Est-ce qu’elle est,
Comme tout le monde, je dois reconnaître que c’est moi qui l’ai fait...
 

Je t'aime...

ne l'écoute pas c'est tous les même

J'ai envie d'être près de toi

ne cede pas cette fois

je te ferais jamais souffrir

ne l'écoute pas, il te fera mourir

t'es la femme de ma vie

c'est pas vrai, oublie !

bon, c'est finit

tu vois tu vois je te l'avais dis..

on reste quand même ami ?

oublie le, il n'a rien compris

je t'adore

il te ment encore..

Je m'étais promis de ne pas verser de larmes
De ne plus succomber à ton charme
Je m'étais promis de te garder
Je m'étais efforcée de ne plus t'aimer

Tu sais je t'ai écrit plus d'une fois
J'avais dit que ce serait les derniers textes pour toi
Pardon, j'ai menti, je n'ai pas réussi
A tenir plus longtemps sans te faire parvenir cet écrit.

Du jour au lendemain tu as tout envoyé en l'air
Pour toi c'était simple, juste quelques clics à faire
Tu m'avais rapidement donné une raison
Une mauvaise sans doute, elle n'a pas répondu à mes questions

Souviens-toi j'avais réussi à te l'écrire
Je t'avais demandé de ne pas partir
Je t'ai dit que tu pourrais toujours tout me dire
Mais je n'ai pas réussi à te retenir
Même avec les larmes et les souvenirs

J'avoue je tiens à toi, peut-être un peu trop
J'ai tout cru même ce qui me semblait faux
Ta raison de partir c'était justement ça,
Que je m'attache un peu trop à toi
Et tu as menti. Tu as dit si je pars je le fais pour toi.

Menteur, tu avais promis d'être là,
De pouvoir à chaque fois me tendre le bras,
« Je n'aime pas te voir triste ou même non souriante »
Menteur tu sais que je pleure à cause de tes humeurs changeantes.

Souvent seule, trop longtemps a réfléchir
A me demander ce qui t'avait poussé à agir.
Il y a autre chose que tu caches j'en suis sûre
S'il te plait, éclaire-moi, même si ça peut paraître dur

Souviens-toi j'avais réussi à te l'écrire
Je t'avais demandé de ne pas partir
Je t'ai dit que tu pourrais toujours tout me dire
Mais je n'ai pas réussi à te retenir
Même avec les larmes et les souvenirs…



 

J'ai fais un rêve
Je me suis faite renversée par une voiture
Ou bien je me suis laissée tomber dans les escaliers
Je me rappel plus exactement
Quand je me suis réveillée
Je me trouvais pas à l'hôpital
Mais dans un grand jardin
Je savais pas pourquoi je me trouvais ici
Je voyais des hommes des femmes des enfants
Ils avaient tous un point commun
Ils avaient tous le sourire
Il y a avait beaucoup d'animaux
Les enfants jouaient avec les lions et les serpents
Je cherchais à trouver la police mais il n'y en avait pas
Je cherchais des médecins mais il n'y en avait pas
Je cherchais des blessures sur mon corps mais il n'y en avait plus
Ce rêve avait un nom : PARADIS